Ils parlent de nous

« Après l’entracte, place à de la musique orchestrale. Avec tout d’abord en Cendrillon de Prokofiev de toute beauté. Une approche très lyrique de Pierre-Alexis Touzeau, du cantabile aux violons et aux cordes en général. Les passages connus tels que la Valse de Cendrillon et du Prince, et Amoroso trouvent tout leur charme avec l’Orchestre des Déconcertants. La Valse lente de son côté sonne bien décadente au niveau de ses harmonies qui fleurent bon la Russie mais elle n’en est pas pour autant dénuée de charme. La Gavotte de son côté est dynamique, et l’alliance des timbres est gérée de façon superbe par le chef. »

Anthony Ndika,  19 mars 2019

« Prokofiev « l’homme aux doigts d’acier » lui est suspendu entre deux mondes et trois femmes, sa mère, sa femme Lina et sa maîtresse. Les Déconcertants les réunissent au programme de leur concert annuel pour la Journée des Droits de la Femme. Mariage saisissant avec 2 créations mondiales et une 1ère : le concerto pour violon n°1 de Prokofiev donné par trois violonistes, une pour chaque mouvement. Après le marathon Beethoven, on passe au relais. Et le pari est à nouveau gagné. »

Marc Phalippou,  9 mars 2019

« D’abord, Julien Hanck, qui a organisé un marathon Beethoven à la salle Colonne. Beaucoup de jeunes musiciens, les uns meilleurs que les autres, pendant plus de 5 heures, avec sonates, trios, quatuor, l’Ouverture d’Egmont et le Cinquième Concerto interprété par Jean-Paul Gasparian et l’orchestre Les Déconcertants dirigé par Pierre-Alexis Touzeau. Magnifique après-midi. »

Benjamin Duvshani,  1 janvier 2019

« … Nous laissons la salle à l’orchestre le temps d’un dernier court entracte. Les Déconcertants saluent notre retour par l’ouverture d’Egmont. Pierre-Alexis Touzeau libère et galvanise une énergie farouche. L’orchestre marie son envie et ses idéaux à ceux du héros de Goethe et de Beethoven Lamoral nous emporte dans son élan. Le final nous attend. Et quel final. Jean-Paul Gasparian traverse le public et s’installe au piano. Silence. […] Le pianiste a le jeu agile, puissant et velouté, le chef une baguette fluide et racée. Le public est conquis et leur fait un triomphe.

Marc Phalippou,  19 décembre 2018

« …  fantastique projet des Déconcertants d’organiser un marathon Beethoven, pour célébrer le 248ème anniversaire de la naissance de Beethoven, dimanche 16 décembre 2018 à la salle Colonne à Paris. […] Enfin, après une longue plongée dans la musique de chambre, on ne pouvait décemment pas terminer ce marathon sans goûter un peu de l’orchestre. Ce fut chose faite avec l’Orchestre Les Déconcertants, dirigé par Pierre-Alexis Touzeau dans l’ouverture d’Egmont. Une lecture appliquée de l’ouvrage, une cohésion de l’orchestre remarquable et un chef aux idées claires (au niveau du tempo, des nuances) qui guide son ensemble avec sérénité.

Anthony Ndika, andika.fr, 19 décembre 2018

 

« … l’orchestre les Déconcertants, dirigés par le chef Pierre-Alexis Touzeau. Cet orchestre regroupant des musiciens professionnels et pré-professionnels aussi bien que des amateurs, réunit des amoureux de la musique désirant faire connaître des œuvres peu connues du répertoire. »

Manuel Gaulhiac, Bachtrack, janv. 2016